close
Puériculture

L’allaitement… vu par l’Homme.

Fête des Mères

Certes, il existe difficilement plus féminin comme sujet que celui de l’allaitement. Mais ce n’est pas parce qu’on est un père qu’on ne peut pas avoir son avis sur la question ! Bien au contraire…

Rappel des faits

Si jamais vous aviez séché tous vos cours de biologie, et que vous n’êtes pas très au fait de ce qu’il se passe dans le corps de la femme après l’accouchement, voici le topo. La femme, tout comme l’homme (coup de chance) est un mammifère. Ce joli mot vient du latin, mamma (les seins) et fer (qui porte), c’est donc un être vivant qui porte des seins, et plus précisément des mamelles pour allaiter ses petits.

Eh oui, la femme produit du lait (il paraît que les hommes aussi peuvent faire du lait si les mamelons sont assez stimulés, mais personnellement je n’ai jamais essayé) mais heureusement pour elle, seulement lorsqu’elle en a besoin. Enfin, quand sa progéniture en a besoin.

Dès l’accouchement, les seins de la femme sont gorgés de Colostrum, un liquide plein de bonnes choses pour le petit corps des petits bébés, mais qui n’est pas réellement du lait. Au bout de quelques jours de sollicitations des seins par l’enfant, le lait apparaît : c’est la montée de lait. À partir de ce moment-là, bébé et maman sont en synchronisation sans fil pour fournir la bonne quantité de lait au moment opportun. C’est magique.

On dit que le lait de la femme est idéalement dosé pour correspondre aux besoins de l’enfant en fonction de l’heure de la journée ! C’est genre hyper bien foutu ce truc, et en plus, c’est gratuit…

Les raisons du débat

Le truc c’est qu’avant l’accouchement, on vous demande assez tôt de prendre part à un débat qui vous dépasse car vous n’en saisissez pas les avantages et les inconvénients : pour ou contre l’allaitement maternel.

Sur le papier, l’allaitement maternel est une bonne idée, mais dans les faits tout n’est pas si rose. À commencer par l’angoisse numéro 1 des parents « Avec l’allaitement maternel, comment savoir si mon bébé a suffisamment à manger ? », suivi de prêt par « Mais est-ce que je vais avoir du lait ? » ou encore « Et si ça ne marche pas, suis-je une mauvaise mère ? », car oui en cas de difficulté (sans même parler d’échec) la culpabilité de la mère est mise à rude épreuve.

Faisons court, pour la femme, voici les avantages et les inconvénients de l’allaitement maternel et artificiel :

Allaitement maternel

                                  Avantages

Inconvénients

– Ça ne coûte rien – Ça fait mal
– C’est prêt au bon moment – Si c’est mal fait, ça abîme les seins
– Pas besoin de chauffer ni de préparer le biberon – De toute manière, ça abîme les seins
– Ça renforce les liens mère/enfant – Vous avez le sentiment d’être une vache à lait
– Pas de risque d’oublier le lait à la maison – Vous DEVEZ être présente pour donner le lait
– C’est bon pour le bébé – C’est toujours vous qui êtes en charge du dossier

Allaitement artificiel

                                  Avantages

Inconvénients

– Ça ne fait absolument pas mal – Ça coûte affreusement cher
– Ça préserve les seins – Il faut nettoyer les biberons
– Vous êtes beaucoup plus libre de vos déplacements – Il faut ne pas oublier les biberons…
– Vous savez combien le bébé boit – Il faut trouver le bon lait
– C’est généralement plus simple au départ – Il faut aimer utiliser une petite dosette et compter jusqu’à 7 même à 3h du matin
– C’est bon pour le bébé – Je l’ai déjà dit que c’était cher ?

Dans les deux cas, rassurez-vous, l’enfant sera heureux et en bonne santé. C’est donc avant tout une question de choix personnel, et ne laissez aucune étude scientifique ou maman ultra convaincue vous culpabiliser ou vous influencer. Choisissez selon ce que vous sentez, votre enfant vous aimera tout autant. D’ailleurs, pour être exact, même si vous allaitez votre bébé jusqu’au sang et qu’il ne vous reste pour seins que de vieux gants de toilette fripés  il ne vous en sera pas reconnaissant pour autant. Faites-le si c’est important pour vous, et non pas pour une quelconque reconnaissance de la part de votre enfant.

Et pour le papa alors ?

Bien, nous avons fait un rapide tour du côté des femmes (qui trouveront plus d’info à peu près partout sur internet), mais qu’en est-il des hommes ? Voilà un débat qui n’est jamais lancé. Pourquoi ? On part du principe que l’allaitement étant du fait de la mère, l’homme n’est pas concerné. Grave erreur !

Pour nous, les mâles, le dossier est d’autant plus important qu’il impacte nos vies de manières significative. Chez certains hommes, voir sa femme donner le sein, ou utiliser un tire-lait peut ne pas être sans peser sur la libido. Mais réduire la question à une vaste considération sexuelle serait non seulement terriblement réducteur, mais surtout ce serait sous-estimer les envies réelles du nouveau papa. Je m’explique.

Un papa, tout autant qu’une maman, souhaite le meilleur pour son enfant, et cela passe par la volonté intrinsèque de lui donner à manger. D’autant qu’il est communément admis que le repas est un véritable moment de bonheur pour un bébé (quand ça se passe bien). Or, la raison qui faisait que j’étais pas hyper chaud pour l’allaitement au départ, c’est que j’avais peur de me sentir déposséder pendant de longues semaines, voir plusieurs mois de cette fonction essentielle pour le nouveau-né : le repas ! L’idée de devoir attendre tout ce temps pour lui donner un biberon, pour tenir mon enfant dans mes bras tout en lui apportant cette essentielle nourriture m’attristait réellement.

Ayant été élevé au lait artificiel, je n’avais d’ailleurs pas un attachement particulier à l’allaitement, mais bon, je me suis posé face à la question avec le moins d’a priori possible, outre cette peur de passer à côté de quelque chose d’important en ne donnant pas à manger à l’enfant.

Ma pacsette désirait, elle, vraiment donner le sein et j’ai accepté. Du coup, voici un bilan sur les avantages et les inconvénients de l’allaitement du point de vus des papas:

 Avantages indéniables :

Pas besoin de préparer le biberon, du coup, on se lève juste pour aller chercher le bébé, on se rendort le temps de la tété et on retourne le coucher. Pratique !

– J’ai trouvé l’image de l’allaitement assez belle et attendrissante, et en même temps c’est assez hallucinant de se dire que le corps humain produit de la nourriture !

Assez rapidement, nous avons tiré le lait ce qui m’a permis de donner le biberon à ma fille sans attendre le sevrage, et ça, c’est top chouette ! D’autant que ça permet à la mère d’aller faire un tour salvateur dans le monde extérieur !

– La sensation que l’enfant mange un produit sain et naturel qui correspond exactement à ses besoins

– Ça ne coûte rien, ça c’est top, et surtout pas besoin de gérer le nettoyage des biberons

 

Les inconvénients pénibles

Le lait maternel se digère très vite, l’enfant a faim toutes les deux heures. Et ça, c’est rapidement usant !

La mise en place de l’allaitement peut être une épreuve particulièrement difficile et éprouvante pour la mère, c’est un mauvais moment à passer pendant lequel vous ne pourrez strictement rien faire pour les aider.

– Les seins gorgés de lait de votre femme deviennent le garde manger du bébé… et, comment dire… on ne joue pas avec la nourriture !

– L’allaitement dans un lieu public c’est possible en théorie, mais dans les faits c’est quand même super compliqué, du coup les sorties sont moindres.

– Les seins après l’allaitement ne seront jamais les mêmes qu’avant, il faudra vous y faire. On peut éviter les crevasses et autres détériorations du mamelon, mais pas l’usure du galbe du sein.

 

Conclusion

Globalement, je dirais que c’est tout de même une aventure positive qu’il faut tenter si le coeur vous en dit. Même si vous ne donnez pas le sein, vous trouverez votre place en occupant d’autres postes, et si votre femme accepte de se faire traire les seins vous pourrez vous aussi donner le biberon avec du lait maternel !

Et puis, voyez le côté positif : ça vous fait plus de temps pour jouer aux jeux vidéo !

 

read more
Puériculture

Test poussette : Bébé Confort Streety

bebe-confort-streety-pack

Une poussette est un investissement important pour de nouveaux parents, ces dernières coûtant généralement plusieurs centaines d’euros. Mais surtout, c’est un engagement sur le long terme avec l’objet qui durera, pour les packs les plus évolués, de la naissance du bébé jusqu’à ses 3 ou 4 ans. Autant dire que si la poussette n’est pas simple d’utilisation vous allez vous arracher les cheveux pendant de long mois… Je vous propose ici un test, complet et instructif je l’espère, sur le modèle Streety du constructeur Bébé Confort. 

Comme tous les jeunes parents, nous avons passé pas mal de temps chez Aubert avant la naissance de notre fille à tester, plier, déplier, comparer, analyser scientifiquement et dans les moindres détails tous les modèles de poussettes. Le défi était de taille puisque nous devions trouver le modèle parfait, qui répondait à un savant mélange de sécurité, simplicité d’utilisation, confort, bonne tenue mais faible encombrement. Après de moult hésitations, nous avons finalement opté pour la Streety parce que son principal argument était un faible poids et un encombrement minimum pour s’adapter à une vie citadine et un coffre de voiture pas très grand.

Avant d’aller plus loin, je vous invite à regarder cette vidéo de présentation officielle de la poussette. On se retrouve après.

À en croire la vidéo, on est sur un produit idéal ! Bon sauf que moi ça fait 7 mois que je l’utilise, et je peux vous dire qu’on se fout drôlement de notre gueule dans cette magnifique petite présentation bien proprette…

Voyons point par point ce qui marche ou pas avec cette poussette.

Sécurité

Là-dessus, rien à dire. La Streety répond aux normes en vigueur, elle est robuste, avec un bon niveau de finition. Tous les éléments de visserie sont toujours intacts, rien ne semble bouger. Le bébé est bien en place, et sécurisé via un système de harnais fiable et facilement ajustable.

Confort

Il faudrait que ce soit ma fille qui vous en parle, mais bon comme elle n’a que 7 mois, ça risque d’être un peu brouillon. En tout cas, que ce soit dans la nacelle, la coque ou la poussette elle ne s’est jamais plainte d’un manque d’espace.  On a même fait plusieurs heures de route avec le bébé dans la coque et elle n’a pas bronché. Bon, si, c’est vrai, au bout de trois heures, elle en avait un peu marre, mais comme nous tous quoi.

Facilité d’utilisation

Autre bon point de la Streety, c’est une poussette poids plume comparée aux autres modèles. En effet, elle ne pèse que 10 kilos en mode poussette canne, contre 12,8 kilos pour sa grande soeur la Loola. Ce n’est évidement pas la plus légère du marché mais pour un modèle convertible et hautement pliable, c’est pas mal. D’ailleurs, parlons en de sa « pliabilité ». Sur ce point-là également la Streety ne ment pas sur ce qu’elle propose. Elle est vraiment très simple à plier et déplier. Ça se fait en 5 secondes, et le système est assez simple. Pas besoin de se creuser la tête 10 ans pour trouver comment ça marche. Une fois plié, le châssis est très compact et nous l’avons logé sans aucun souci dans le coffre de notre 206 parmi d’autres éléments. Le clipage et déclipage des accessoires d’assise se fait également très facilement via deux gros boutons bleus sur les côtés que vous ne pouvez pas rater ! D’autre part, le châssis possède un filet assez pratique pour ranger toutes sortes de choses. Comme il est large et profond, vous pouvez tranquillement stocker toutes les affaires de votre enfant sans devoir faire de concessions.

Ergonomie

Pour ce qui est du confort d’utilisation pour le chauffeur (et non pas le passager), l’ergonomie est bonne mais souffre de quelques petits défauts. Tout d’abord, vous n’avez pas la possibilité de modifier la hauteur de la poignée du guidon. Celle-ci est un poil trop basse. Je mesure 1m78, et c’est vrai que si je veux tenir le guidon à bout de bras je suis obligé de courber légèrement le dos. Par ailleurs, le guidon est parallèle au sol, on le tient donc comme on pousse un caddie de supermarché. Mais là aussi, c’est une légère erreur stratégique car en réalité on se fatigue vite. Je me suis surpris plus d’une fois à me tenir vraiment agrippé au guidon, en forçant sur les bras pour assurer une bonne prise. Ce problème aurait pu être corrigé avec des poignées individuelles, ajustables et orientables comme sur le châssis de la Loola.

Prise en main dans la rue

La Streety se veut l’alliée de la vie urbaine… et ça, c’est un gros mensonge. Certes, elle est relativement facile à manier, elle tourne bien et permet d’éviter des obstacles sans difficulté comme le montre la vidéo. En revanche, ce qu’elle ne montre pas c’est que la poussette est vraiment nulle pour monter la moindre surface en hauteur ! Trottoir, bosses, pavés, petits trous… le moindre accroc sur la route et les roues avant restes coincées ! J’ai mesuré, en dessous d’1cm de hauteur, pas de souci. Entre 1 et 2 cm, ça passe mais ça secoue assez fort… Au-delà impossible de passer sans devoir lever le nez du châssis ! J’ai appris cette douloureuse leçon à mes dépends puisque je me suis pris plusieurs fois la structure métallique de la poussette dans les tibias et ça fait franchement mal, surtout quand on avance d’un pas décidé et qu’on ne se doute pas que la moindre rugosité de la voirie est une montagne infranchissable ! Alors ils me font bien rire chez Bébé Confort avec leur vidéo, parce que je pense qu’ils sont au courant du problème… vous n’avez pas remarqué ? Regardez comme la route est parfaitement lisse ! On ne montre évidement pas quand notre papa-modèle doit monter un trottoir… Non, non, non….

Ce problème est dû, à mon humble avis mais je peux me tromper, je ne suis pas ingénieur en poussettes, à deux facteurs qui s’additionnent. D’une part, des roues au diamètre relativement faible (14 cm environ), mais surtout l’absence de suspensions à l’avant. On trouve de nombreux parents mécontents sur internet qui font écho à ce problème, et qui rajoutent une usure des roues prématurées. Pour ma part, je n’ai pas à déplorer ce second souci. En revanche, autre point de discorde concernant la vidéo, il est précisé que vous pouvez piloter la poussette à une main. Alors, toujours pareil, d’accord c’est vrai mais que si la route est parfaitement plate et linéaire ! Pour l’avoir fait, dès qu’on arrive sur une zone un peu inclinée ou qu’il y a un virage à prendre c’est carrément galère !

Prise en main en terrain « sauvage »

Alors bon, si les gens du marketing de Bébé Confort passent par ici ils vont me dire que je n’ai rien compris à leur poussette, mais il faut que je vous dise que j’ai également testé la Streety sur des terrains pas du tout Street. Nous avons testé la balade en forêt (ok tant que le terrain est dur), dans l’herbe (ok, mais beaucoup de friction et donc il faut pousser plus fort) et enfin dans le sable (totalement impossible d’avancer du moindre centimètre). Je n’ai pas encore essayé la boue, mais quelque chose me dit que ça ne devrait pas donner de très bons résultats…

Nacelle

La nacelle est le premier accessoire de transport qui va accueillir votre enfant. Notre fille y a passé pas mal de temps jusqu’à ses 3 mois. Assez bien conçu, il est suffisamment grand pour constituer un couchage d’appoint ou de secours. Malgré sa grande taille, il est assez légé et plutôt facile à manier. Le harnais de sécurité est très simple d’utilisation et assez sécurisant. En revanche, bémol pour le système d’installation dans la voiture, qui n’est franchement pas pratique quand on a une 3 portes. Il faut insérer des clips de fixations sur les ceintures, puis vous fixez l’ensemble sur la nacelle. Je ne sais pas si le système peut être optimisé, en tout cas ce n’est pas le plus pratique.

La coque 

Assez large et confortable, la coque de la Streety est bien pensée. Elle possède un système de harnais vraiment facile d’utilisation et qui peut s’adapter très rapidement à la taille du bébé. L’installation en voiture est plus simple que la nacelle, et la poignée de transport est, elle aussi pratique.

La poussette

Dernier accessoire de transport, la poussette canne est décrite assez fidèlement dans la vidéo. Elle est large, confortable et modulable. Le système de sécurité est convaincant, et les différentes positions sont faciles à changer. Le fait de pouvoir orienter l’enfant dos à la route ou face à la route est également une option intéressante. À noter simplement que l’enfant doit déjà savoir se tenir assis pour ne pas tomber en avant ou sur les côtés car la poussette est beaucoup moins enveloppante que la coque !

Sac à langer

Enfin, quand vous achetez la poussette, elle vous est livrée avec un sac à langer assorti. Ce dernier ne constitue en rien une plus-value qui pourrait vous faire pencher pour l’achat de ce modèle plutôt qu’un autre. Certes, il est pratique parce qu’il s’accroche directement sur le châssis, mais il est vraiment petit et n’offre que peu de rangements. Nous l’avons très vite remplacé par un sac à langer classique qui vient se loger dans le filet du châssis.

Conclusion

Pour conclure, je dirais que la Streety porte mal son nom. Si ça avait été moi, je l’aurais appelé la Street-Platy, ou encore la Street-mais-sans-trottoiry, histoire de préciser qu’elle fonctionne bien quand la route est parfaitement lisse. On pourrait croire que ce n’est qu’un détail, mais en réalité monter et descendre des trottoirs est une activité que vous faites plusieurs dizaines de fois par trajets, alors quand ça coince vous vous énervez rapidement ! C’est donc un sérieux handicap, et c’est d’autant plus dommage que le reste est plutôt bien pensé. Ajoutez à ça une ergonomie pas franchement idéale, ça commence à faire beaucoup. Certes, elle offre de sérieux avantages, surtout en termes de légèreté et de gain de place, mais au final quand on additionne les plus et les moins, le bilan est légèrement négatif.

Mais comme il s’agit d’un modèle conçu pour la ville et vendu comme tel (plus de 600 euros en plus), pour moi elle ne remplit pas sa mission.

Ce n’est donc pas une poussette que je vous recommande, sauf si vous avez le plaisir d’habiter dans une ville où les rues sont parfaitement lisses !

 

Si vous êtes constructeur de poussette, surtout, n’hésitez pas à me contacter je me ferais un plaisir de réaliser un essai de votre dernier modèle.

read more
1 6 7 8 9 10
Page 8 of 10

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866

Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/monpapae/www/wordpress/wp-includes/functions.php on line 5866